Les faits

Le 20 juin 2012, Serge LETCHIMY donne la priorité à la Mairie de Fort-de-France sur la Collectivité Unique. (Cf. extrait de France Antilles du 20 juin 2012 ci-après)

Le 27 février 2013, Serge LETCHIMY présente sa démission au conseil d’administration de la Semaff afin de se mettre en position juridique de reprendre la bataille électorale de Fort-de-France au cas où le PPM le lui demanderait.

Au cours du dernier trimestre 2013, Serge LETCHIMY pose sa candidature pour obtenir l’investiture PPM pour mener la bataille des municipales de Fort-de-France.

Ce vendredi 3 janvier 2014, Serge LETCHIMY décide, après le vote du comité national du PPM, de se retirer de la course des municipales à Fort-de-France pour donner la priorité à sa candidature à la présidence de la collectivité unique.

Mes Sentiments

De l’incompréhension : j’ai beaucoup de difficultés à comprendre le cheminement et les motivations de cette décision.

De la colère : j’ai l’impression d’avoir été le spectateur d’un mauvais film où les citoyens, la presse sont considérés comme des enfants.

Mes besoins

En tant que citoyen portant un intérêt à la vie politique de Martinique, j’ai besoin de sens et de considération.

Mes vœux pour 2014

Je souhaite qu’en cette nouvelle année, en Martinique,

Des relations d’Adulte à Adulte s’établissent entre les responsables politiques et leurs collaborateurs,

Des relations d’Adulte à Adulte s’établissent entre les responsables politiques et les citoyens,

Des relations d’Adulte à Adulte s’établissent entre les responsables politiques et la presse,

Des relations d’Adulte à Adulte s’établissent entre la presse et les citoyens.

Olivier Ernest JEAN-MARIE – Citoyen Martiniquais – Schoelcher – Le 5 janvier 2014

Extrait de France-Antilles du 20 juin 2012 :

« Gabriel GALLION : Vous devrez trancher pour Fort-de-France….

Serge LETCHIMY : Que voulez dire par trancher ?

Gabriel GALLION : Choisir le bon capitaine…

Serge LETCHIMY : Mais on n’a rien décidé sur Fort-de-France. Je vous ai déjà dit, comme à d’autres, que mon cœur est avant tout à Fort-de-France.

Gabriel GALLION : Mais, vous ne pourrez pas mener deux batailles en même temps ?

Serge LETCHIMY : Je vous répète que mon cœur est à Fort-de-France.

Gabriel GALLION : Vous savez que détenir deux exécutifs n’est pas possible ?

Serge LETCHIMY : Monsieur, mon cœur est à Fort-de-France. Je ne suis pas un cumulard.

Gabriel GALLION : La collectivité unique reste tout de même un objectif majeur ?

Serge LETCHIMY : Il y a aura un candidat ou une candidate. Un programme. Si on me demande où se trouve mon destin, mon cœur, je répondrai : à Fort-de-France. »